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La demande en iPad connaîtrait ses heures de gloire en Chine

En réalité, l’épidémie de coronavirus qui sévit dans la région serait aussi bien un atout qu’un fléau pour le fabricant des tablettes les plus vendues de la planète. Derrière cette affirmation, les conséquences des mises en quarantaine.

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© Unsplash / sloth x bear

Depuis maintenant plusieurs semaines, les retards de production d’iPhone liés à la pneumonie de Wuhan font sans cesse la une de nos colonnes. Tour à tour, ce sont ainsi les Apple Store ou les sous-traitants comme Foxconn qui doivent prendre des mesures drastiques nuisant à leur chiffre d’affaires pour éviter de se rendre coupables d’une propagation accrue de la maladie.

Si chez nous le MWC a été annulé, dans l’Empire du Milieu les autorités vont encore plus loin et la capitale du Hubei a tout simplement été coupée du reste du monde afin d’isoler au maximum ses habitants pour enrayer la contamination. Mais alors, comment continuer à travailler sans pouvoir se rendre à l’université ou chez son employeur ?

La tablette, solution aux problèmes de déplacement

Quand même les transports en commun sont à l’arrêt, c’est le remote working (télétravail) qui prime. Il suffit en effet de se connecter depuis un appareil disposant d’un navigateur web pour communiquer et collaborer avec son équipe : de nos jours, la plupart des startups ont déjà l’habitude de fonctionner de cette manière.

Mais pour les établissements plus traditionnels comme les écoles, c’est un véritable changement qui s’impose : les vacances à rallonge du Nouvel An chinois sont bel et bien terminées, et de plus en plus d’étudiants se voient contraints de faire l’acquisition d’un iPad pour faire leurs devoirs ou suivre les cours.

En résulte donc une croissance imprévue des commandes de particuliers pour Apple. À tel point que sa boutique en ligne serait à deux doigts de la rupture de stock dans bon nombre de villes, la faute également aux pénuries de ses fournisseurs, et que les revendeurs tiers pratiqueraient désormais des tarifs plus chers que les originaux ! Les élèves et salariés ajouteraient ainsi entre 12 et 26 euros (au taux de change actuel) selon le modèle, en ce moment.

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